Compromis entre la « fin du mois » et la « fin du monde »
Constat :
Depuis plusieurs années la société est inquiète pour son avenir, pour l’avenir de la planète et des générations à venir. En France, René Dumont disait déjà en 1972 « Je bois devant vous un verre d’eau précieuse… » Les « collapsologues » nous prédisent un effondrement avant la fin du siècle.
Nous sommes maintenant confrontés à une crise énergétique sans précèdent, bien plus forte qu’à l’époque des « gilets jaunes » qui n’en pouvaient déjà plus car le pouvoir d’achat diminuait comme peau de chagrin.
Les politiques de tous bords proposent des « solutions » qui n’en sont pas :
– Diminuer les taxes sur les énergies fossiles que ce soit la TVA ou même la TICPE
– Proposer une prime aux ménages les plus démunis
Ce sont de fausses solutions qui n’ont, elles-aussi, aucun avenir car elles vont à l’encontre de la décarbonation attendue pour 2050 selon les différents objectifs des COP…
Propositions « simples » :
Distribuer un Revenu de Base Inconditionnel, Individuel et Inaliénable (RB3I) pour permettre à chacun de vivre dignement. Cf. Guy Valette, Baptiste Mylondo, Marc de Basquiat,…
Dans ce RB3I, inclure individuellement un quota de consommation d’eau et d’énergie fonction de ses conditions d’habitation et de l’âge. Ceci pour inciter la population à faire des économies.
Par exemple (à définir plus précisément) en France, par adulte
- 3000 litres d’eau
- 60 Kwh
- 20 litres de carburant ou plus, selon la région en fonction des services publics de transport.
Au-delà de cette attribution, les tarifs seront très chers voire exponentiels pour permettre l’équilibre des distributeurs.
Ceci pour inciter la population à faire des économies (pour l’eau et l’électricité) et pour les carburants de favoriser l’usage des transports en commun et du co-voiturage…
Ces attributions peuvent faire l’objet de revente pour augmenter le pouvoir d’achat.